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[

un

 de qualité

immobilier

-

 responsable  et  durable

]

Depuis 2006 nous avons fait le choix de la GEOTHERMIE

Dernière mise à jour : 30 mai

A l’heure de nous réunir pour créer  nos premiers programmes immobiliers, le sujet des orientations techniques  était central et fédérateur: proposer des logements avec une qualité technique et esthétique plus avancée.


Si au départ il s’agissait  de faire mieux, la recherche de la performance avec tous ses bénéfices a renforcé nos convictions et notre vision de notre métier et de notre impact.

Nos clients sont au coeur de nos principes créatifs: l’usage, la fonction mais aussi  les coûts; ces charges toujours trop élevées....


L’esprit entrepreneurial qui nous anime nous a conduit rapidement à rechercher l’autonomie énergétique des bâtiments:  la France ne produit ni pétrole ni gaz.

Un événement presque ordinaire va nous décider. Déjà en 2006 Moscou vendait son gaz en Ukraine, en Allemagne, en France ... mais un coupure du réseau gazier va révéler la vraie nature des relations économiques et politiques et leurs conséquences.


Le choix stratégique de la géothermie, énergie disponible localement, répond à tous les besoins de nos clients en termes d'autonomie, de fiabilité, de faible coût , de décarbonation et offrant un confort d’été vertueux.



Une crise équivalente vite résolue en 2006


Les Echos : Publié le 9 janv. 2009 à 01:01 Mis à jour le 6 août 2019 à 00:00

"Personne n'avait grelotté dans les chaumières en Europe lors de la dernière coupure de gaz russe, en janvier 2006 à la suite, là encore, d'une querelle avec l'Ukraine. A l'époque, Moscou n'avait, à l'inverse d'aujourd'hui, pas complètement coupé le gazoduc, mais seulement réduit l'approvisionnement à hauteur de la consommation ukrainienne. Kiev s'étant vraisemblablement servi au passage des quantités dont il estimait avoir besoin, cela avait provoqué une baisse des apports de gaz autour de 25 % pour l'Allemagne et la France et de 50 % pour la Serbie ou la Pologne. En outre, la coupure n'avait duré que trois jours, car, conscients qu'elle affectait pour les Russes leur image de fournisseur fiable, et pour l'Ukraine celle de candidat à l'entrée dans l'Union européenne, les deux parties avaient rapidement trouvé un accord. Le Kremlin avait pu se targuer d'avoir rempli son objectif, le quadruplement du prix du gaz, à 250 dollars les 1.000 mètres cubes, par rapport au « prix d'ami » qu'elle accordait à l'Ukraine du temps où elle était dans sa sphère d'influence. Et Kiev avait pu se prévaloir de ne payer en fait que la moitié de ce prix grâce à l'apport, dans des conditions très opaques, de gaz turkmène bradé via une filiale de Gazprom."

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